Ayant été licenciée pour avoir refusé cette mutation, la salariée saisit la juridiction prud’homale estimant sa clause de mobilité non licite[…] Attendu que pour dire nulle la clause de mobilité insérée dans l’avenant au contrat de travail de la salariée, ainsi rédigée « compte tenu de la nature de ses fonctions, Mme Y… X… prend l’engagement d’accepter tout changement de lieu de travail nécessité par l’intérêt du fonctionnement de l’entreprise et ce, sur l’ensemble du territoire français… »