La clause de non-concurrence est l’interdiction faite au salarié d’exercer des fonctions identiques au bénéfice d’un concurrent ou de développer, pour son propre compte, une activité concurrente à celle de son entreprise d’origine. En contrepartie, l’employeur s’engage à verser au salarié une contrepartie financière.
Très logiquement, la violation de la clause de non-concurrence prive le salarié de la contrepartie financière. Mais qu’en est-il lorsque cette violation est temporaire ?
Telle est la question soumise à la Cour de cassation dans un arrêt rendu en janvier 2024.